(AGENPARL) – lun 27 febbraio 2023 COMUNICATO STAMPA
Primarie, Celli: con Elly Schlein si apre nuova stagione per Partito Democratico, con rinnovato orgoglio ed entusiasmo
Testo Allegato:
L’UCIMU PRÉSENTE LE PREMIER BILAN DE DURABILITÉ DU SECTEUR DE LA MACHINE-OUTILDans le créneau des biens d’investissement, UCIMU-SISTEMI PER PRODURRE est la première association, en Italie et en Europe, à avoir produit un Bilan de durabilité sectoriel.Le secteur avance bien sur le front de la durabilité : la moitié des entreprises affichant le label UCIMU déclarent avoir planifié, pour les trois années à venir, la publication d’un Rapport de Durabilité (48%) ainsi que d’un Plan Stratégique (54%). Les objectifs à court et moyen terme des entreprises du secteur sont : une plus grande formalisation des politiques et des process et la mise en œuvre d’initiatives de communication ciblées. Milan 21 février 2023.Le premier Bilan de Durabilité dédié au secteur de la machine-outil, réalisé par UCIMU-SISTEMI PER PRODURRE, l’association des constructeurs italiens de machines-outils, robots et systèmes d’automation, en collaboration avec l’école ALTIS, Alta Scuola Impresa e Società de l’Université Catholique de Milan, a été présenté cet après-midi lors d’une rencontre ouverte à la participation des entreprises, du monde du crédit, des institutions et de la presse.« La durabilité est un domaine extrêmement profitable pour les entreprises car non seulement elle leur permet d’améliorer leurs relations avec les parties prenantes, mais elle donne également la possibilité de se réinventer et de s’aligner au cadre réglementaire européen, qui souligne l’importance croissante de la diffusion des bonnes pratiques ESG. Avec ce Bilan, on peut constater l’introduction d’un bon nombre de pratiques en ligne avec les critères ESG. Dans le secteur des biens d’investissement, UCIMU-SISTEMI PER PRODURRE est la première association, en Italie et en Europe, à avoir réalisé un Bilan de durabilité sectoriel. C’est un résultat dont nous sommes sans aucun doute très fiers : la prochaine étape sera de formaliser ce processus et de l’étendre à un plus grand nombre d’entreprises. C’est dans ce but, que l’UCIMU poursuivra ses activités de formation et de soutien à ses affiliées, entamées aux cours des dernières années », a déclaré Barbara Colombo, présidente d’UCIMU-SISTEMI PER PRODURRE, qui a ouvert les travaux avec Vito Moramarco, directeur d’ALTIS Université Catholique. Stella Gubelli, Administrateur Délégué d’ALTIS Advisory Srl Società Benefit, un Spin-off de l’Université Catholique du Sacré Cœur de Milan, a enchaîné en illustrant le contenu et les principaux résultats de l’étude : « Le projet développé avec UCIMU vise à encourager les entreprises affiliées à entamer des parcours d’amélioration basés sur une évaluation objective des critères ESG orientée vers les domaines de durabilité pertinents pour le secteur. Nous pensons qu’il s’agit de la manière la plus efficace d’accompagner les entreprises pour qu’elles puissent faire face aux défis et saisir les opportunités ».La table ronde, modérée par Mauro Bellini, Directeur responsable d’ESG360.it, a présenté les témoignages de Barbara Colombo, PDG de Ficep, Massimo Carboniero, PDG et Copropriétaire d’Omera, et Andrea Portosa, Responsable des achats de Rosa Ermando, en leur qualité de représentants de trois entreprises du secteur ayant rédigé leur premier bilan de durabilité ; Natale Schettini, Responsable Gouvernance du Crédit, Banco BPM, Carolina Lonetti, Chief Export Finance & Internationalization Officer SIMEST, et Marco Cantalamessa, Chief Marketing & CEO Staff Officer SIMEST, qui ont mis en évidence l’importance croissante des critères ESG dans l’évaluation des demandes de financement pour les activités de développement et de croissance des entreprises ; Maurizio Bellosta, PDG de Rubinetterie Bellosta et vice-président AVR, qui a souligné le fait que l’approche de la durabilité est décisive dans le choix d’un fournisseur. Patrizia Ghiringhelli, Vice-présidente de l’UCIMU et Coordinatrice du Comité du Label de l’UCIMU, a clôturé les travaux. Le Bilan de Durabilité, se référant à l’année 2021, a été élaboré sur la base des réponses au questionnaire adressé aux entreprises affiliées ayant le label UCIMU. 53 entreprises, sur les 66 concessionnaires du label UCIMU, ont répondu. Le questionnaire d’évaluation préparé par l’UCIMU en collaboration avec ALTIS a été construit selon une analyse de matérialité, c’est-à-dire en focalisant l’attention sur les domaines de durabilité les plus impactés par les activités des entreprises du secteur. En d’autres termes, les critères ESG faisant l’objet de l’évaluation ont été choisis parmi les 11 objectifs ODD de l’Agenda 2030 des Nations Unies de par leur cohérence avec l’activité des entreprises du secteur de la machine-outil.Résultats de l’analyseLes résultats du Bilan sont présentés selon les trois principaux domaines dans lesquels se déploie l’activité des entreprises au regard des critères de durabilité : environnemental, économique et social. Durabilité environnementalePour le secteur, l’économie circulaire (ODD 12) est un domaine d’excellence incontesté, à tel point que 62% des entreprises interviewées ont mis en œuvre de bonnes pratiques. La quasi-totalité des entreprises, 98%, réalise la collecte sélective des déchets ; 76% ont défini leurs propres objectifs de réduction des rebuts et des déchets produits ; 50% utilisent des matières premières issues du recyclage. En revanche, du point de vue des émissions de dioxyde de carbone (ODD 13), les entreprises du secteur doivent encore concrétiser leurs actions. En effet, seuls 33% des répondants ont défini des objectifs liés à la réduction du CO2 et, encore moins, 11% des entreprises ont formalisé ces objectifs dans un document officiel. Parmi les activités qui font partie du paquet de bonnes pratiques par rapport à l’objectif 13, seules 9% des entreprises interviewées ont envisagé le développement d’actions de compensation dont les coûts de mise en œuvre seraient résolument contenus, étant donné leur faible impact environnemental découlant du secteur d’appartenance. Durabilité socialeDans un secteur à fort contenu technologique et de spécialisation, où l’innovation est essentielle pour la compétitivité de l’offre, le capital humain et, par conséquent, la formation de qualité (ODD 4) des effectifs figurent parmi les actifs incorporels les plus importants. 92% des entreprises affirment avoir mis en place ou adopté un système de gestion pour répondre aux besoins de formation des salariés. 87% ont défini des objectifs de formation pour leurs effectifs, dont plus de la moitié (54%) sont des objectifs formalisés. En outre, 63% des entreprises déclarent dispenser des formations sur des compétences transversales ainsi que sur des sujets techniques, et 82% déclarent avoir adopté des procédures d’évaluation des prestations du personnel. Les entreprises sont fortement engagées également en faveur du développement durable du territoire et de la communauté (ODD 11) : 68% des entreprises montrent d’être conscientes de leur rôle de moteur de croissance à travers, par exemple, l’apport de contributions économiques pour soutenir les collectivités locales et les jeunes talents. Parmi les domaines à améliorer figure celui de la diversité et de l’égalité des chances (ODD 5), pour lequel il faut travailler à la mise en œuvre de politiques visant à une plus grande inclusion, tant des femmes que des jeunes, dans un secteur traditionnellement masculin. À ce jour, la main-d’œuvre est formée majoritairement d’hommes (86%). Les jeunes représentent une toute petite part de l’effectif total : 77% des personnes travaillant dans les entreprises du secteur ont plus de 30 ans. Seules 22% des entreprises disposent d’une politique ou d’un comité pour la mise en valeur de la diversité et la promotion de l’égalité des chances. Ceci dit, les bonnes pratiques adoptées par les entreprises en matière d’égalité des chances et de diversité incluent la mise en œuvre d’une politique plus inclusive, la création de crèches d’entreprise et des actions d’accompagnement à la maternité. Enfin, il faut que les entreprises investissent davantage dans la gouvernance de la durabilité (ODD 16) et dans la formalisation de leurs initiatives : en effet, seules 30% d’entre elles communiquent sur les critères ESG par une section dédiée sur leur site web et seules 4% ont formalisé cette démarche par la rédaction d’un compte rendu tel que le Bilan de Durabilité. Durabilité économiqueDans le domaine de l’innovation (ODD 9), du numérique à la sécurité des technologies de l’information, les entreprises sont fortement orientées vers le développement de technologies innovantes et efficaces, susceptibles de réduire le gaspillage des ressources, de favoriser des modes de consommation plus durables et d’assurer une meilleure productivité aux entreprises clientes. Les résultats de l’enquête nous apprennent en effet que 91 % des entreprises ont défini une stratégie ou des objectifs futurs en matière de numérisation, automatisation et industrie 4.0. Parmi les bonnes pratiques les plus répandues figure le développement de projets de numérisation et de communication avec les produits installés pour permettre, en accord avec le client, leur suivi continu et la prévision des besoins en maintenance. Tout cela signifie, en effet, une réduction des temps de production et d’arrêt des machines, ainsi qu’une utilisation correcte des ressources, autant d’activités qui contribuent à améliorer la compétitivité de l’entreprise.Pour ce qui est de la Recherche et du Développement, 72% des entreprises ont défini une stratégie ou des objectifs futurs orientés vers la réduction de l’impact environnemental. Presque toutes les entreprises interviewées assurent qu’elles utilisent l’étiquetage ou la formation pour préparer les clients sur l’utilisation correcte des machines (91%) et sur leur élimination à la fin de leur cycle de vie (72%).Conclusions De manière générale, le Bilan de Durabilité 2021 révèle un manque généralisé de formalisation des process : même si 64% des entreprises ont défini des stratégies et des objectifs, seules 24% l’ont fait de manière formalisée. Le pourcentage concernant la gestion et le suivi des parcours de durabilité, bien que plus élevé (39% de manière formalisée), reste inférieur à la moitié. Par ailleurs, les conclusions du Bilan mettent en exergue la nécessité pour les entreprises du secteur de consolider leur attitude à « communiquer la durabilité » par la mise en œuvre de pratiques d’entreprise ad hoc.Contact :UCIMU-SISTEMI PER PRODURRE Claudia Mastrogiuseppe, Responsable Direction Relations Extérieures et Bureau de Presse, +39 0226255299, +39 3482618701 press@ucimu.it Massimo Civello, Direction Relations Extérieures et Bureau de Presse, +39 0226255266, +39 3487812176, press2@ucimu.it Filippo Laonigro, Bureau de Presse Technique, +39 0226255225, technical.press@ucimu.it ALTIS Université Catholiqueelena.pirovano@unicatt.it Université Catholique du Sacré Cœurufficio.stampa-mi@unicatt.itALTIS – Alta Scuola Impresa e Società de l’Université Catholique du Sacré Cœur de Milan, s’occupe de management e d’entrepreneuriat pour le développement durable. Depuis sa fondation, au début des années 2 000, elle poursuit cette mission à travers des activités de recherche, de conseil et de formation pour les entrepreneurs, les managers, les professionnels et les jeunes diplômés. En 2019, elle a lancé le cycle « Innovation et durabilité », une série de rencontres de divulgation explorant la durabilité dans des secteurs spécifiques, avec la publication de rapports sectoriels sur le plastique, la santé, la mode, la GDO, le secteur oléicole, la viande, la charcuterie et le secteur vitivinicole. En outre, par le biais du spin-off ALTIS Advisory Società Benefit, elle a accompagné plusieurs entreprises sur la voie de la durabilité ou du reporting non financier, en fournissant un soutien à la formalisation de plans stratégiques et à la publication de bilans de durabilité. https://altis.unicatt.itUCIMU-SISTEMI PER PRODURRE est l’association des constructeurs italiens de machines-outils, robots et systèmes d’automation. Avec plus de 240 entreprises affiliées couvrant plus de 70% du Made in Italy du secteur, l’UCIMU est le représentant officiel de la catégorie auprès des institutions, des organismes gouvernementaux et des parties prenantes en Italie et à l’étranger. Fondée en 1945, UCIMU travaille aux côtés des entreprises, garantissant son soutien à tous leurs principaux domaines d’activité dans le but de promouvoir et de stimuler la croissance de l’industrie italienne du secteur, qui a toujours joué un rôle de premier plan dans les classements internationaux. http://www.ucimu.it